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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le cinéma vocalise l'espace | Le cinéma vocalise l'espace | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cinéma règle le rapport au désir | Le cinéma règle le rapport au désir | |||||||||||||||
Christian Metz - "Le signifiant imaginaire - Psychanalyse et cinéma", Ed : Union Générale d'Editions, Coll 10/18, 1977, p68 - |
Le spectateur de cinéma est tout-percevant, au sens de la toute-puissance du moi |
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Plusieurs niveaux de perception sont mobilisés au cinéma (vision, audition). Les perceptions sont bien réelles, mais le lieu ou la scène d'où les perceptions proviennent (au-delà de l'écran) est absent. Autrui est sur l'écran. Je suis là pour le regarder. Un des cadeaux que me fait le film est mon ubiquité : je perçois tout, tout entier du côté de l'instance percevante (le regard, la caméra), absent de l'écran mais bien présent dans la salle (du côté du projecteur). ------- Christian Metz cite l'audition parmi les perceptions cinématographiques, mais ses commentaires privilégient systématiquement le regard. L'instance toute-percevante n'est-elle pas aussi une oreille? Et le projecteur n'est-il pas rien, ou presque, sans la sonorisation du film parlant? Le sentiment de toute-puissance n'est-il pas lié, aussi, au fait qu'en entend tout? |
Photo © D.R. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Metz EVocalCinema FD.LFD CinemaDesirMD.LMD T.perception Rang = OGenre = MH - NP |
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