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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le cinéma règle le rapport au désir | Le cinéma règle le rapport au désir | ||||||||||||||||
Sources (*) : | CinéAnalyse : le désir pervers source de régulation | CinéAnalyse : le désir pervers source de régulation | |||||||||||||||
Christian Metz - "Le signifiant imaginaire - Psychanalyse et cinéma", Ed : Union Générale d'Editions, Coll 10/18, 1977, p102 - |
CinéAnalyse : la présence dans le temps où elle se brise | La force de présence d'un film tient à sa capacité à faire jouir, par ses appareillages et son théatre d'ombres, d'un objet absent |
CinéAnalyse : la présence dans le temps où elle se brise | ||||||||||||||
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Au cinéma, l'objet vu, absent, est remplacé par un reflet. Son énorme outillage est destiné à faire oublier cette absence, à entretenir la croyance fragile (et clivée) en un théatre d'ombres qui n'est que le substitut d'un manque, un fétiche. Il faut à la fois l'absence de l'objet et la performance technique pour que s'établisse le plein pouvoir de jouissance cinématographique. Le plaisir se loge dans l'écart entre le résultat (une projection sur un écran) et les moyens mis en oeuvre. Le spectateur apprécie comme telle la machinerie qui l'entraîne : c'est la preuve que le film était bon, bien fait. ------- On trouve une telle force dans le film de Nadine Labaki, Caramel. |
Photo © D.R. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Metz CinemaDesir FP.LFP InsuPerversionMP.MPO ProPresenceLF.LLF T.technique Rang = OGenre = MH - NG |
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