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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la circoncision | Derrida, la circoncision | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, limitrophie, limite et arrêt | Derrida, limitrophie, limite et arrêt | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Circonfession", Ed : Seuil, 1991, p16 Circoncision, arret-coulure (Gil Aelligam, 2010) - |
La circoncision est un épanchement sanguin strictement cautérisé, coagulé, cicatrisé |
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Derrida compare la circoncision à une prise de sang. On cherche la veine. Par la pointe d'une seringue on provoque un écoulement, une surabondance, une crue. Puis l'autre (l'infirmier) interrompt le flot, il instaure une digue, il favorise la cicatrication. Il reste le sang prélevé et quelque chose de beau, un apaisement glorieux. Le dedans habituellement invisible (le sang) s'exprime au dehors, il se livre sans l'intervention du moi, sans responsabilité. Cette veine qui est celle de la vie, de l'écriture, une fois circonscrite, dit "je" et prend forme de langue. C'est autour de cela que Derrida s'exprime. Il tourne autour de la circoncision, autour de cet événement qui n'est rien mais qui est inoubliable. La circoncision définit une sorte de schème : épanchement/arrêt. C'est une surabondance suivie d'un bord, à partir duquel ça fait oeuvre. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaCirconcision EC.LEC DerridaLimiteVC.LDV U.circoncision Rang = OGenre = DET - DET |
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