Derrida
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Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Le monde comme surface visuelle                     Le monde comme surface visuelle
Sources (*) :              
Stanley Cavell - "La projection du monde, Réflexions sur l'ontologie du cinéma", Ed : Belin, 1999, p141

 

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Avec le cinéma, le visionnement est devenu notre mode naturel de perception : voir le monde en ayant le sentiment de n'être pas vu

   
   
   
                 
                       

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Le cinéma est né pour satisfaire notre désir de reproduction magique du monde. Ce que nous regardons sans être vus, c'est le monde même, un monde qui semble plus naturel que la réalité. Telle est notre manière de poser notre lien au monde. Nous épions le monde de derrière notre moi. Nos fantasmes sont hors de vue et doivent le rester. Nous n'avons plus d'espoir de les partager. Nous sommes moins que jamais en position de les marier au monde.

Le cinéma reproduit le monde automatiquement (comme la photographie), mais c'est la seule chose qu'il fasse automatiquement. On peut se servir de cet automatisme qui est son pouvoir spécifique [les mécanismes du cinéma produisent des successions de projections automatiques du monde], mais il laisse place à d'autres techniques, ce qui le force à entrer dans le modernisme.

 

 

L'artiste moderne crée un nouveau moyen d'expression dans son art [c'est-à-dire de nouveaux styles, genres ou paradigmes, qui ne se réduisent pas à son moyen d'expression principal, ici l'automatisme].

 


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