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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Merleau - Ponty, l'Être | Merleau - Ponty, l'Être | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Maurice Merleau-Ponty - "Le visible et l'invisible", Ed : Gallimard, 1964, p126 L'enfance de Raleigh (John Everett Millais, 1870) - |
Pour décrire l'être, on peut recourir à la dialectique comme pensée de situation, à condition de secouer les fausses évidences et de ne jamais la formuler en thèses |
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Merleau-Ponty critique la dichotomie sartrienne de l'Être et du Néant. Comment en sortir? Par une pensée dialectique, en mouvement, où la dernière étape n'annule pas la précédente. Cette pensée parcourt l'être en faisant sa route. Elle n'est pas le reflet ou la copie d'un processus extérieur, elle l'engendre. Chaque terme est sa propre médiation, l'exigence d'un devenir. La dialectique renverse les énoncés, différencie et intègre les sens multiples, les redistribue sur plusieurs plans. Au contact de l'être, elle ouvre un espace de manifestation. Pour que l'être s'y manifeste et s'y dévoile, il ne faut pas qu'on puisse la formuler en thèse sans la dénaturer. Elle doit enseigner qu'il peut toujours y avoir un supplément d'être dans l'être (hyperdialectique). |
La dialectique est un genre non susceptible d'une désignation positive. Pour déchiffrer l'être, elle doit être instable. Si elle devient identité pure des opposés (Hegel ou Sartre), elle chute dans l'ambivalence, elle se convertit en signification avec son ordre à elle et sa rationalité. Dès qu'on la parle au lieu de la pratiquer, elle devient un principe explicatif, un malin génie, une mauvaise dialectique, celle qui impose une loi extérieure au contenu. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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MerleauPonty MerleauEtre DH.HDD U.UN Rang = OGenre = MR - IB |
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