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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le lieu de l'Orloeuvre | Le lieu de l'Orloeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | CinéAnalyse : En faisant résonner l'absence, le vide, le rien | CinéAnalyse : En faisant résonner l'absence, le vide, le rien | |||||||||||||||
Bertille Sapintza - "La Sibylle", Ed : Galgal, 2007-2011, Page créée le 31 juillet 2000 Texture de Temari09 (Flickr), licence CC - |
Le récit de l'Orloeuvre | Idve est le point d'absence inoccupé à partir duquel se construit l'Orloeuvre |
Le récit de l'Orloeuvre | ||||||||||||||
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Idve est presque imprononçable en français. C'est le point sans substance ni matière d'où commence la création. C'est le dieu (dont le nom peut se lire aussi Idue, comme l'Idumée de Mallarmé) vide (ne pas prononcer) de l'athéisme, dont le Ctp est une émanation. C'est le non-dit de la religion. C'est l'Ensof, le point de retrait de Yhvh, et aussi le point d'inconnu qui precède le Big Bang. Il vient en plus, en excès, là où le désêtre se mue en être, où l'absence peut se faire idole, où dans IDOLE-IDVE, OL devient V (ou U). Peu d'écart. C'est une idée : IDVE-IDEE - une lettre, aussi, d'écart. Qu'est-ce qui se trouve entre l'idée, l'idole, dieu et le vide? Idve, notre création. Car Idve est une création humaine, aussi naturelle qu'artificielle. C'est un cyborg. Idve porte une majuscule car elle est un nom propre (féminin, bien sûr). Ce nom ne se désigne pas lui-même, mais désigne un être de discours auquel il donne réalité. C'est un dire. Là aussi, entre IDVE et DIRE, une seule lettre d'écart. Le R s'évite et devient V. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Bertille HebGalgal VI.LII ProVideVV.LVV PGFParcoursYO.LYU Xx.Idve Rang = KGenre = ME - NG |
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