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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Derrida, dédoublement | Derrida, dédoublement | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'alliance | Derrida, l'alliance | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Foi et Savoir, suivi de Le Siècle et le Pardon", Ed : Seuil, 2000, p99 Sorcier (Rene Mag ritte, 1951) - |
Derrida, le supplément | Il y a plus d'Un, c'est-à-dire au moins deux, ce qui implique une alliance à plus de deux : n + Un |
Derrida, le supplément | ||||||||||||||
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Dans cet Essai d'axologie qu'est Foi et savoir, Derrida ne pouvait pas éviter de travailler la question du deux, question apparemment arithmétique mais décisive car elle détermine le genre d'alliance à laquelle souscrire : pas à Un ni à deux, mais à plus encore. Il y a deux sources de la religion, a-t-il constaté, mais il n'y en a pas que deux, il y en a plus de deux. Pourquoi? Parce que la source se divise et se répète de manière à la fois machinale et incalculable. Dès qu'il y a calcul, il y a supplément, et ce supplément est folie, violence. Dans l'arithmétique derridéenne, le Un s'adresse à l'autre : s'il y a Un, c'est qu'il y a plus d'Un. Il a foi en cet autre, il y réagit, il en témoigne, il en répond. Si cette réponse est calculable, il y a risque de mal radical (annulation de l'avenir). Sinon, la source se répète et se multiplie. |
Il en résulte un genre d'alliance (autre alliance, nouvelle alliance hétéronomique, sans appartenance) qui réinvente l'incalculable. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaDouble CN.LLN DerridaAllianceED.LHD DerridaSupplementNC.LNC Q.plusdun Rang = JGenre = MJ - NA |
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