Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Van Gogh, la différance | Van Gogh, la différance | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La vérité en peinture", Ed : Flammarion, 1978, p317 Les Vieux souliers de Van Gogh (1886), apres deformation - |
Derrida, le musée | Le dépareillé induit à penser la vérité de la paire, tout comme le hors d'usage exhibe l'utilité, et le désoeuvrement expose l'oeuvre |
Derrida, le musée | ||||||||||||||
Un lieu pour l'oeuvre, ex - posée | Un lieu pour l'oeuvre, ex - posée | ||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
[En s'exhibant comme dépareillée, inutile, en ne représentant plus rien ni personne, en n'étant plus qu'un reste abandonné, cette chose devient oeuvre [alors seulement les critiques d'art et les spécialistes se l'approprient]] ------- En tant qu'oeuvre, l'objet peint est détaché de toute fonction, déchargé de toute tâche. Il n'est plus, il ne représente plus (ni le signataire, ni un objet, ni un sujet, ni l'observateur). Il est désoeuvré, délié, défait comme les lacets de ces chaussures qui ne sont pas une paire, comme une boucle étrange qui n'attache plus rien. Cet objet-là [le tableau] n'est qu'un reste. ------- L'oeuvre ne s'expose qu'à partir de son extériorité (ce qui est irréductible à une légende, une lecture, un savoir, ou une interprétation). ------- |
Version déformée des Souliers de Van Gogh.
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaArt FS.LFS VanGoghDifferanceFE.LFE DerridaMuseeJI.LJI ArchiOeuvreInstitutionDK.LKD UVDepareille Rang = OGenre = MR - IB |
|||||||||||||||