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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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L'écran global omniprésent | L'écran global omniprésent | ||||||||||||||||
Sources (*) : | CinéAnalyse : le désir pervers source de régulation | CinéAnalyse : le désir pervers source de régulation | |||||||||||||||
Gilles Lipovetsky - "L'écran global, Culture-médias et cinéma à l'âge hypermoderne, avec Jean Serroy", Ed : Seuil, 2007, pp328-9 - |
L'écran tient moins son pouvoir de ses qualités pratiques que de la captation / fascination / séduction qu'il exerce |
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Un peu plus d'un siècle après l'invention du cinéma, l'écran est devenu global, omniprésent. C'est un écran-monde dont on ne peut plus se passer. Cette puissance n'est pas née de sa généralisation, car elle est apparue dès le jour de décembre 1895 où les frères Lumière ont fait leur première démonstration. Les spectateurs ont été irrésistiblement attirés par lui, subjugués. Ce pouvoir magique, quasi hypnotique, a fait du cinéma un art populaire qui tient à la jouissance que procure le dispositif lui-même autant qu'aux films. Si on allume la télévision de façon quasiment mécanique, c'est parce que cette captation lui a été transférée. Mais l'ordinateur propose en plus l'immédiateté, l'interactivité, la disposition infinie de tout à portée de clic. C'est une interface généralisée qui permet de communiquer, s'informer, etc... Une forme d'asservissement à l'hypervitesse s'appuie sur une fascination encore accrue. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Lipovetsky EcranGlobal DC.LDC InsuPerversionMF.LFM T.puissance Rang = MGenre = MH - NP |
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