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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la loi, le droit | Derrida, la loi, le droit | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, sa Cabale cachée | Derrida, sa Cabale cachée | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Préjugés - Devant la loi, in "La faculté de juger"", Ed : Minuit, 1985, p127 La tente du Saint des Saints - |
Derrida, la dissémination | Dans le rapport à la loi comme dans le rapport sexuel, le Tabernacle reste vide et la dissémination fatale |
Derrida, la dissémination | ||||||||||||||
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Dans la nouvelle de Kafka intitulée Devant la loi, l'homme reste jusqu'à sa mort devant la porte de la loi. Il s'interdit d'entrer, et le récit se termine par une phrase prononcée par le gardien : "Je ferme la porte, je conclus". Derrida compare cette conclusion à un coitus interromptus. On ne connaît jamais la loi, on ne la pénètre jamais. Le seul hymen possible avec elle est derridien : il ne commence ni ne finit pas. Freud a désigné cela comme pathologie sous le nom d'éjaculation précoce, mais la jouissance dite normale n'y échappe pas. Si le lieu de la loi reste vide, ce n'est pas par impuissance ou par névrose, c'est par structure : au centre du Temple, là où se concentre l'adoration, se trouve le Saint des Saints [c'est-à-dire rien du tout]. Partant de ce récit de la loi, qui est irracontable, on peut interroger le rapport sexuel. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaLoi XD.LDD MQiDerridaCabaleFD.DDL DerridaDisseminationXT.LLT T.nonrapport Rang = NGenre = MK - NG |
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