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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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L'image incarne un mort | L'image incarne un mort | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Hans Belting - "Pour une anthropologie des images", Ed : Gallimard, 2004, p264 Saint Jerome dans sa cellule (Albrecht Duerer, 1521) - |
Le crâne a été introduit dans la peinture en même temps que le portrait réaliste, comme son inexorable pendant |
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Pour Giotto comme pour Dante, il y avait antithèse entre le corps (immanent) et l'image (qui était située dans un au-delà, un autre monde). Un siècle plus tard, à l'époque de Masaccio, l'image devait susciter la fiction ou l'illusion d'un corps. L'espace étant désormais considéré comme homogène, il fallait évincer la transcendance de la peinture. Comme on ne pouvait plus représenter la mort par des ombres ou des figures, on s'est servi d'objets empiriques du même genre que le portrait : crâne ou cadavre. Quand mouraient les modèles, les portraits des vivants étaient rattrapés par la mort, qui se produisait dans l'espace des vivants. L'immanence de la perception butait contre l'obstacle de la mort. |
Saint Jérôme dans sa cellule (Albrecht Dürer, 1521).
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Belting BeltMort FD.LDD T.renaissance Rang = PCraneGenre = A - |
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