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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Hantise de l'indiscernable | Hantise de l'indiscernable | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Archi - écriture, archi - oeuvre | Archi - écriture, archi - oeuvre | |||||||||||||||
Alfred Pacquement - "Henri Michaux", Ed : Gallimard, 2006, pp25-29 Mouvements (Henri Mi chaux, 1950) - |
Peinture, écriture | Dans la peinture, se cherche le mouvement d'une autre écriture, non verbale, où le signe s'invente de toutes pièces |
Peinture, écriture | ||||||||||||||
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Michaux n'apprécie que la peinture dont la forme reste insaisissable et la ligne livrée à elle-même. Chaque fois, il part de la table rase. Il apprend à marcher. Il accumule les signes comme des pages d'écriture archaïques, des alternatives à ses propres textes. Ils émergent de l'obscurité, du fond noir, de la tache qui macule la feuille blanche, des propriétés des matières qu'il emploie (encre, aquarelle), de ses rêves ou de ses hantises. Les formes sont évanescentes, tirées du néant. Sont-elles vraiment des signes, ou des silhouettes humaines en voie de dislocation? Ici la forme humaine rejoint la forme abstraite. Les signes sont hors du temps et de l'histoire, infiniment changeants. Leur nombre est excessif, surabondant. Il les préfère aux mots, trop collants. Ils grouillent, ils se désintègrent au profit d'un chaos plastique. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Michaux MichauxParcours DE.LDD ArchiOeuvreEcritJN.LLN DamischEcritDE.LED UPeintureSigne Rang = QMichauxGenre = MJ - NA |
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