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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Duplicité du musée | Duplicité du musée | ||||||||||||||||
Sources (*) : | L'art devient bavard | L'art devient bavard | |||||||||||||||
Harold Rosenberg - "The De-definition of Art - La dé-définition de l'art", Ed : Collier Books, 1972, p57 Sans Titre (Donald J udd, 1978) - |
Le minimalisme en art est théatral | En art contemporain, un tabou interdit de définir un objet par ce à quoi il ressemble : une planche n'est pas une planche, un cube de plexiglas n'est pas un cube |
Le minimalisme en art est théatral | ||||||||||||||
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Dans l'art contemporain, on ne peut pas faire confiance à son oeil habituel. En aucun cas une planche n'y est un élément de mobilier. L'art y est le produit d'une étiquette, d'un discours, et réduire une chose ou un matériau à son usage trivial y est un barbarisme. C'est comme si on se servait d'un châle de prière comme serviette. Dans l'art moderne, un objet est la cristallisation d'un moment dans le débat continu entretenu sur la nature de l'art. C'est un élément de notre culture esthétique. Pour garder l'art intact, il faut soumettre l'objet au pouvoir des mots, qui doit être constamment accru. C'est ainsi que le statut mythique ou sacré de l'art est conservé sans faire appel à aucune religion instituée. Tant que l'art continuera à se référer à une catégorie spéciale d'objets, sa désacralisation sera impossible. Tant que ses objets seront considérés selon des règles spécifiques, on ne pourra pas supprimer les barrières qui le séparent de la vie. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Rosenberg MuseeDouble DG.LGD ArtRhetoriqueHO.KLO LitteralTheatreGI.LGI QObjet Rang = OObjetGenre = MJ - NA |
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