Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Elie Faure - "Histoire de l'art - Art renaissant", Ed : Denoël - Folio, 1976, p47 Crucifixion de Saint Pierre - Assise (Cimabue, 1277-78) - |
La fresque est faite pour fixer l'instant passionnel dans une matière solide : mur d'église ou méditation |
||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
L'Italie de la Renaissance nous a surtout parlé par la peinture. En Toscane, le langage naturel était la fresque. Par la netteté des tons et des contours, c'est elle qui s'adapte le mieux à l'atmosphère florentine et surtout à l'ampleur des murs et palais municipaux. Les vieux maîtres - de Cimabue à Giotto et Duccio - n'en ont pour ainsi dire pas connu d'autre, et la tradition s'est transmise, de Fra Angelico à Michel Ange. La fresque doit être réalisée rapidement, quand le mortier encore humide peut saisir la couleur. Elle exige une préparation commune avec le maçon. Il faut attendre le bon moment - aux dernières heures de la nuit - et peindre sans hésitation ni repentir. Alors l'instant unique se prolonge. Il vibre et survit sur les murs. |
|
|
||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
FaureElie W.fresque Rang = WfresqueGenre = A - |
|||||||||||||||