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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, James Joyce | Derrida, James Joyce | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la lettre | Derrida, la lettre | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Ulysse gramophone, Deux mots pour Joyce", Ed : Galilée, 1987, p45 Photo prise a Paris (Pierre Delayin, 23 fevrier 2010) - |
Derrida, marque, re - marque, itérabilité | L'événement d'écriture de Joyce, c'est que la marque fait loi : son contenu essentiel est la lettre inaudible, imprononçable, intraduisible |
Derrida, marque, re - marque, itérabilité | ||||||||||||||
Derrida, Dieu | Derrida, Dieu | ||||||||||||||||
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Finnegans Wake, écrit en plusieurs langues, est intraduisible. Sa loi, c'est que l'acte d'écriture (la marque) est ineffaçable. Elle apparaît comme telle, dans une véritable guerre [contre l'énonciation orale]. Le texte la garde en soi comme différence de soi, comme différance. Même si une langue domine (l'anglais), même si le livre en appelle à la profération à haute voix (la prononciation, le timbre), le signe visible, écrit, résiste à l'effacement. Une confusion babélienne, mutique, subsiste. L'oeuvre de Joyce est un reste d'indicible mis en lettres et en pages. C'est un hapax, comme He war, un acte de langage et d'écriture, et aussi un événement. Le monolinguisme ne peut pas l'absorber. La marque n'est ni identifiable, ni appropriable : elle est divisible, disséminable, comme la lettre et le signifiant. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaJoyce FE.LFE DerridaLettreEY.LEY DerridaMarqueQE.MED DerridaDieuXI.LII WJoyce Rang = VjoyceGenre = MP - DET |
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