Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, James Joyce | Derrida, James Joyce | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, Dieu | Derrida, Dieu | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Ulysse gramophone, Deux mots pour Joyce", Ed : Galilée, 1987, pp52-53 Boy writing (Lucian Freud, 1943) - |
Derrida, date et signature | Ce qui fait oeuvre chez Joyce, c'est qu'il a signé et contresigné le nom de Dieu |
Derrida, date et signature | ||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
L'écriture de Joyce dans Finnegans Wake est au-delà du calcul, de toute littérature calculable. Quelle que soit sa richesse, on ne peut qu'en rire. Rire de quoi? De la signature, de sa propre signature, du geste de donner (en signant et en implorant) selon l'art. James Joyce se venge contre le Dieu de la tour de Babel. Dans un syntagme inaudible et incompréhensible comme He war, où deux langues sont mélangées (voire plus), il procède comme Jacques Derrida à l'égard de l'autre : il en contresigne l'événement. Dieu a signé par le tétragramme indicible [Yhvh]? Eh bien me voici, je signe et je contresigne. Je dis Oui à Dieu - comme Molly Bloom à la fin d'Ulysse -, je souscris. C'est un acte athée car, en souscrivant, je l'efface. Il peut parler aussi haut qu'il voudra, j'aurai effacé sa voix. |
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaJoyce XE.LFE DerridaDieuXH.LJX DerridaSignatureXY.LUX UJoycenomDieu Rang = VXJoyceNomDieuGenre = MK - NG |
|||||||||||||||