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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la musique | Derrida, la musique | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La voix et le phénomène", Ed : PUF, 1967, p111 Le piano dans l'anneau (le nom de l'auteur est illisible) - |
Derrida, vérité | On trouve dans des formes de signification non discursives (musique, art) des ressources de sens qui ne font pas signe vers la vérité objective |
Derrida, vérité | ||||||||||||||
Derrida, le discours | Derrida, le discours | ||||||||||||||||
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Husserl définit comme "normales" les situations dans lesquelles l'intention du vouloir-dire est "remplie" par l'intuition de l'objet. C'est sur cette base qu'il construit son concept de grammaire pure logique. Quand le symbole fait signe vers la vérité, la forme se règle sur le sens. Mais cela est-il nécessaire? Peut-on concevoir une situation dans laquelle le remplissement de sens ne serait pas associé au remplissement de l'objet? Une situation dans laquelle un écart entre intention et intuition séparerait la visée de la vision? La musique, les arts non littéraires, un langage poétique sont des formations dont la logique n'est pas celle du rapport à l'objet. Le sens n'y est pas limité au savoir, le langage n'y est pas limité à la raison. Le discours s'émancipe. Le vouloir-dire n'est pas supprimé, mais il se sépare de l'intuition; il n'est pas dirigé vers le vrai. Le formalisme peut s'ouvrir à d'autre projets, qui ne promettent aucune connaissance. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaArt GF.LFG DerridaMusiqueED.LDE DerridaVeriteME.LME DerridaDiscoursKD.LKD UNonDiscours Rang = PNonDiscoursGenre = MK - NG |
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