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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, Freud, la psychanalyse | Derrida, Freud, la psychanalyse | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la différance | Derrida, la différance | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "L'écriture et la différence", Ed : Seuil, 1967, pp300-1 - Freud ou la scène de l'écriture Moments de la trace (Ksa Freisteirx, 2011) - |
Derrida, la trace | On peut interpréter les différences repérées par Freud dans la production de la trace comme moments de la différance |
Derrida, la trace | ||||||||||||||
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Selon le principe d'inertie avancé par Freud, la vie réagit à tout accroissement de tension en recherchant une décharge. Si la fuite immédiate est impossible, elle cherche d'autres moyens de se protéger. Elle reportera, diffèrera l'investissement dangereux. C'est ainsi qu'opèrent les neurones décrits par Freud dans l'Esquisse (1895). Dès la première fois, dès l'impression première, ils résistent au passage de la force (barrières de contact), et à chaque répétition, cette résistance se répète. Mais la force passe quand même. Il y a frayage, effraction, violence, et production de la trace. Jacques Derrida rapproche ce mécanisme de ce qu'il appelle, lui, la différance [mot qui contient l'idée de différer]. Il fait remarquer qu'il s'agit chez Freud d'une fonction primaire. L'essence même de la vie, c'est de s'ajourner, se réserver - ce mot n'étant pas pris sous le concept de temps, mais comme pure différence, retard originaire. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaFreud DD.LDD DerridaDifferanceDG.LGD DerridaTraceBF.LFD WFreudTraceDifferance Rang = VFreudDifferanceGenre = DET - DET |
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