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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la peinture | Derrida, la peinture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Oeuvre, différance, pulsion de mort | Oeuvre, différance, pulsion de mort | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Mal d'archive", Ed : Galilée, 1995, p25 Ava Gardner - |
Derrida, le beau | La pulsion de mort n'est jamais présente : elle ne laisse en héritage que son simulacre érotique, son pseudonyme en peinture : la beauté du beau |
Derrida, le beau | ||||||||||||||
Derrida, la mort | Derrida, la mort | ||||||||||||||||
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Au terme d'Au-delà du principe de plaisir (1920), la pulsion de mort n'est pas (ou plus) pour Freud une hypothèse ni une thèse qu'on puisse discuter. Ce n'est pas non plus un principe (comme le principe de plaisir ou de réalité) dont on puisse trouver des traces. C'est une nécessité, une pulsion irréductible et originaire qui ne laisse pas d'archive (anarchivique, elle détruit ses propres archives). Opérant toujours en silence (comme la peinture), elle n'est jamais présente en personne, ni en elle-même, ni dans ses effets, à une exception près : quand elle met son manteau érotique, quand elle se maquille à même la peau, quand elle se déguise, se présente en idole ou comme vérité en peinture. Son nom obscur est alors : beauté. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaPeinture IP.LIP ArchiOeuvrePMJD.LJD DerridaBeauEJ.LEJ DerridaMortKT.LKT UBeaute Rang = NBeauGenre = MK - NP |
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