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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Cinéma muet | Cinéma muet | ||||||||||||||||
Le journal d'une fille perdue, avec Louise Brooks (1929) - Dominique Païni, in Art Press, numéro trimestriel 21, p9 |
La spécificité du cinéma muet, à laquelle le cinéma sonore est absolument étranger, est d'être essentiellement un art plastique |
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Dominique Païni cite Henri Langlois, qui disait : "L'art du muet est essentiellement un art plastique et photographique". Quand (entre 1905 et 1930) la parole ne détournait pas (encore) des images, quand le film n'était pas (encore) dominé par la narration et le pouvoir de la voix, c'était le plaisir des yeux qui dominait. Le sort des images importait plus que celui des personnages. Le principal souci des cinéastes était la plasticité, ce qui les rapprochait des peintres (qui eux aussi, comme Fernand Léger, se rapprochaient du cinéma). Ce cinéma se banalisait moins. Il s'académisait moins et restait plus expérimental - ce qui (toujours selon Langlois) justifie sa conservation. |
Le Journal d'une fille perdue, avec Louise Brooks. Film muet de 1929 dirigé par G.W. Pabst.
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Pa•ni CinemaMuet DD.LEE UCinemaMuetPlastique Rang = WCinemaMuetGenre = Video - |
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