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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'image | Derrida, l'image | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le spectral de Derrida | Le spectral de Derrida | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Avec Safaa Fathy : Tourner les mots; Au bord d'un film", Ed : Galilée - Arte Ed, 2000, p17 - |
Derrida, la mémoire | L'image a une force de spectralité anamnésique qui excède infiniment ce que pourrait dire une parole, un discours - ou même un métalangage |
Derrida, la mémoire | ||||||||||||||
Derrida, la parole | Derrida, la parole | ||||||||||||||||
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Commentant le film D'ailleurs, Derrida, tourné par Safaa Fathy en 1999 et dont il est le principal "acteur" [et aussi le thème], Derrida fait remarquer que l'image excède à chaque instant le discours. Même en laissant à la parole autant d'espace que possible, elle n'est jamais aussi rapide que l'image, elle n'offre pas de raccourcis rhétoriques aussi accélérés. Un chat qui passe, [par exemple] évoque un autre chat disparu, mort, auquel on peut associer beaucoup d'autres "morts, revenants ou ressuscités". Les mots sont plus pauvres que l'image, ils sont muets [bien qu'on puisse les entendre], "assignés à résidence", tandis que, dans les images, les possibles et les durées s'enchevêtrent. Elles saisissent, elles promettent [notamment d'autres images virtuelles], elles gardent, elles excluent - elles sont plus fortes que la langue. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaImage EC.LEC DerridaSpectreGB.LDD DerridaMemoireFM.LFF DerridaParoleJN.LJJ UImageAnamnese Rang = QImageGenre = MH - NP |
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