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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Symbole, oeuvre, conflits | Symbole, oeuvre, conflits | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Nicolas Abraham - "L'écorce et le noyau", texte écrit avec Maria Torok"", Ed : Flammarion, 1987, p31 Portrait d'homme (Theo Van Doesburg, 1915) - |
La signification d'un symbole, conçu comme fusion entre refoulant et refoulé, n'est donnée que dans la relation de transfert, par résonance entre structures imaginales |
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Selon Nicolas Abraham, pour appréhender le symbole psychanalytique, il faut accepter une destitution de l'ego cartésien. Le symbole tel qu'il l'entend n'est pas accessible au sujet conscient. Sa signification n'est pas donnée objectivement, comme un contenu extérieur, fixe, qu'il suffirait d'écouter. Elle est le produit d'une opération dynamique qui implique le sujet dans sa relation avec ses objets et ses désirs conflictuels. En défendant cette thèse, Abraham critique implicitement la phénoménologie husserlienne. Si le symbole est né d'un conflit inconscient, et si son aspect conscient n'est qu'une résultante de ce conflit, alors aucune "réduction" ne permet d'en comprendre la source. Le symbole ne peut ni se révéler par auto-perception, ni être déchiffré par le sujet lui-même. Sa signification - pour ce sujet singulier - ne peut émerger que dans le cours d'une analyse de type freudien, par résonance entre la fonction du symbole (pour ce sujet) et l'imaginaire d'un analyste. En d'autres termes, le fonctionnement imaginal du sujet - qui donne sa signification au symbole - ne peut se révéler que dans une relation de transfert. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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AbrahamNico SymboleConflit GE.LEG USymboleTransfert Rang = QSymboleTransfertGenre = MR - IA |
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