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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, retrait, effacement | Derrida, retrait, effacement | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'archi - trait, le trait et son retrait | Derrida, l'archi - trait, le trait et son retrait | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Psyché, Inventions de l'autre (tome 1)", Ed : Galilée, 1987, p91 Subjectif-objectif (H. Do trement, 1974) - |
La métaphore se retire | En contractant avec lui-même, se traitant, se recoupant, se retirant, le trait entame une transaction avec la langue de l'autre, il se fait oeuvre |
La métaphore se retire | ||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
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Jacques Derrida évoque la double généalogie du trait chez Heidegger, qui s'énonce dans la langue allemande autour de deux familles de mots, Reissen et Ziehen. Par une sorte de coup de force, il regroupe ces deux familles sous un seul mot, retrait. Il y aurait, aujourd'hui, un retrait supplémentaire de l'être (Entziehung). Le trait passerait avec le retrait de lui-même un étrange contrat, comparable à l'acte de création de l'oeuvre d'art selon Heidegger, cet acte où l'oeuvre se retire en elle-même. Ici, dans cette performance, l'attrait vers l'oeuvre ouvre un gouffre. Le trait est étranger aux mots. Il ne se fait ni chose ni référent. Il s'emporte en lui-même, il n'est rien. Il se retire de l'être, de l'étant, du langage, et c'est dans ce mouvement du se retire, quand il se rapporte à lui-même, quand il se divise, se démultiplie en retraits (au pluriel) dans plus d'une langue, qu'il fait oeuvre. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaRetrait GR.LER TraitRetraitHC.LHC RetraitMetaphoreGD.LDG DerridaArtDD.BBB UTraitAutoTrait Rang = RTraitAutoAFFGenre = MJ - NA |
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