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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'humain | Derrida, l'humain | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Jacques Derrida - "L'animal que donc je suis", Ed : Galilée, 2006, p19 Portrait d'une dame en bleu (T. Gainsborough, 1779) - |
Par structure, la liste des propres de l'homme forme une configuration jamais close : vêtement, pudeur, parole, raison, rire, deuil, sépulture, don, concept, etc. |
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Pour définir l'homme, la tradition occidentale l'oppose à l'animal. Il parle, il raisonne, il fabrique des concepts (et même le concept de concept), il rit, il enterre ses morts, il fait des dons, il connait le bien et le mal, il s'habille, il sait qu'il est nu, se sent nu face à l'autre qui le regarde (y compris dans certains cas si cet autre est un animal qui me répond, me regarde). Selon Jacques Derrida, ces traits qui semblent disparates forment une configuration sans limite. Il y en a toujours plus, ils s'ajoutent l'un à l'autre. L'histoire, le travail, la connaissance de soi, la pudeur - ces termes répondent tous à des techniques, alors que l'animal, qui n'a pas conscience d'être nu, y serait étranger. Nietzsche disait que l'homme, cet animal à promesses, est encore indéterminé, il est encore en défaut de lui-même, à venir. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaHumain EG.LEG UHumainPropre Rang = NHumainPropreGenre = MR - IA |
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