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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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L'écranophile en voix off | L'écranophile en voix off | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Peter Szendy - "L'Apocalypse cinéma - 2012 et autres fins du monde", Ed : Capricci, 2012, pp19, 24 - |
Une femme sur la lune (Fritz Lang, 1929) - Dans chaque film opère un compte à rebours : comme une apocalypse, le temps du cinéma est toujours sur le seuil de sa fin |
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Dans certains films apocalyptiques, la date de la disparition du monde (tout au moins d'un monde, celui que nous connaissons) est connue à l'avance. Ainsi par exemple le 12/12/12 (12 décembre 2012) dans le film de Roland Emmerich, 2012. Certains scientifiques possèdent des informations qui leur permettent de prévoir cette date ou de la rendre calculable. Mëme s'ils n'en connaissent pas tous les détails, ils peuvent s'y préparer. Un compte à rebours s'enclenche, qui est aussi celui du film : on saura à la fin ce qu'il en est advenu (et comme dans toute fable, on en tirera une morale). Le compte à rebours aurait été inventé par Fritz Lang, pour son film La femme sur la lune (1929). [Avant ce film, on comptait dans l'autre sens, du plus petit vers le grand]. Ce décompte est en tous cas typique du cinéma. Ainsi avant le film (countdown footage) et entre chaque image, c'est un compte à rebours qui opère. Une image renvoie à une autre image à venir, jusqu'à la fin du film, cette apocalypse). |
Le film de Fritz Lang (Une femme sur la lune, 1929) ne se termine pas sur ce compte à rebours, mais sur une scène d'amour - comme si le happy end venait recouvrir et cette "petite apocalypse" qu'est la fin du film. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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szendy CinemaChrono 1929.LA.NGL UCinemaRebours Rang = QCinemaLafinGenre = MH - NP |
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