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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, métaphysique, sa clôture | Derrida, métaphysique, sa clôture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le signe | Derrida, le signe | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p25 Le signe (G. G.) - |
L'époque du signe, essentiellement théologique, ne finira peut-être jamais; mais sa clôture historique est dessinée |
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Les années 1960 sont celles du structuralisme, de la linguistique et de la sémiologie. Selon Jacques Derrida, la différence signifié/signifiant s'inscrit dans la vieille histoire de la métaphysique qui oppose l'intelligible au sensible. Le signe a deux faces, l'une verbale (intelligible) et l'autre sensible. Le signifié ne peut avoir lieu, faire sens, que par l'expulsion ou la "chute" de l'autre face, celle du sensible. Le signe, la divinité et le logos sont indétachables. Mais ce parallélisme du signe, cet étrange écart, s'exténue. Même si la machine sémiotique continue à tourner, la "mauvaise" écriture, celle qui ne présuppose ni un sens ni une vérité déjà constitués, se glisse dans la culture : nouvelles pratiques qui n'exigent pas la présence du sujet parlant, écritures non phonétiques, irréductibles au logos. Le paradoxe, c'est que nous appartenons toujours à cette époque dont la clôture se dessine. On ne peut ébranler l'héritage sans se servir des catégories qui sont solidaires de cette époque. La faille est visible, l'idée de signe tombe en ruine, mais sa fin est encore innommable. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaMetaphysique MG.LLK DerridaSigneLD.LLD USigneCloture Rang = USigneClotureGenre = MK - NP |
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