Derrida
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de l'oeuvre

de Jacques Derrida

Un seul mot - ou un syntagme.

         
   
Derrida, l'amitié                     Derrida, l'amitié
Sources (*) : Derrida, le politique               Derrida, le politique
Jacques Derrida - ""Politiques de l'amitié", suivi de "L'oreille de Heidegger"", Ed : Galilée, 1994, p225

 

Double portrait (Imre Amos, 1938) -

Derrida, l'aporie

Une hyperaporétique de l'amitié est la condition archi-préliminaire d'une autre expérience, une autre pensée du politique, qui promet "peut-être" autre chose

Derrida, l'aporie
   
   
   
Derrida, "peut - être" Derrida, "peut - être"
               
                       

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Dans ce livre intitulé "Politique de l'amitié", Jacques Derrida commence par repérer les apories liées au concept d'"amitié" chez différents auteurs de la tradition gréco-chrétienne : Aristote, Cicéron, Diogène Laërce, Saint Augustin, Montaigne, Nietzsche, Carl Schmitt. Déjà, ces auteurs lient "politique" et "amitié", ils traduisent d'une certaine façon (ou de plusieurs façons) l'une dans l'autre. C'est pour chacun d'eux un devoir, une tâche. Mais quelle est la tâche de Derrida lui-même, qui s'inscrit dans cette continuité en prolongeant ces auteurs? Il ne s'agit pas de trouver une solution satisfaisante, un dénouement analytique à ces apories. Il s'agit de les excéder, d'ouvrir à une autre expérience de la décision et de la responsabilité.

Laquelle? Le projet d'Aristote (une vie parfaite, autarcique, pour les familles, les maisons, les filiations) visait à créer, en un lieu rassemblé, le plus d'amitié possible. Derrida ne renonce pas à traduire politique en amitié et vice-versa, il ne renonce pas à un projet de communauté politique. Mais son "projet" à lui reste marqué par le "peut-être", l'indécidable. Ce n'est ni une assurance, ni un programme. Il ne repose pas sur la solidité d'une amitié établie. Au contraire, il part des failles, des contradictions, des incertitudes et des apories de l'amitié pour que, chaque fois, puissent être inventés d'autres liens (singuliers et politiques) (hyperaporétique).

 

 

Derrida voudrait approcher une "autre pensée du politique", un "nouvel ordre architectonique, analytique ou dialectique", une autre interprétation de l'amitié qui excéderaient non seulement les apories des auteurs classiques, mais même des mots comme "aporie" ou "contradiction". Sa démarche est téléiopoétique : il appelle, au présent, l'oeuvre politique (et poétique) en question, à partir de cette adresse (qu'il qualifie d'archi-préliminaire : elle ne donne aucune indication sur les politiques éventuelles de l'amitié) - dirigée vers nous (le lecteur). Il ne maîtrise pas ce que son destinataire en fera.

 


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