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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, théologie négative | Derrida, théologie négative | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, sa Cabale cachée | Derrida, sa Cabale cachée | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Psyché, Inventions de l'autre (tome 2)", Ed : Galilée, 2003, p147 - Comment ne pas parler? Eglise (Johannes Bosboom) - |
Derrida, l'adresse | La théologie négative ne peut échapper à la rhétorique du renoncement au savoir que par la prière, l'apostrophe, l'adresse à l'autre, à un "toi" |
Derrida, l'adresse | ||||||||||||||
Derrida, la prière | Derrida, la prière | ||||||||||||||||
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On critique souvent la "théologie négative", cette rhétorique répétitive qui ne définit l'essence de Dieu que négativement, par des formulation dites "apophatiques", celles qui énoncent tout ce que Dieu "n'est pas", pour sa renonciation au savoir, à la connaissance. Ce serait une parole tautologique (parler pour ne rien dire), un obscurantisme stérile qui se prête facilement à la parodie ou au simulacre. Et pourtant c'est ainsi que commence la théologie. L'énoncé négatif ouvre l'espace d'une énigme, d'une divinité qui n'a pas besoin d'être. Ce lieu hétérogène, avec lequel ceci ou cela n'a rien en commun, peut recevoir le nom de Dieu. En parler, ce n'est pas tout à fait ne rien dire, c'est ouvrir la possibilité de s'adresser à lui. Quand on prie, quand on l'invoque, quand on l'apostrophe, on ne s'adresse pas à personne. Toute théologie apophatique commence ainsi, par la gravité d'une prière (p172). Cette expérience n'est pas un préambule : c'est un moment essentiel du discours chrétien. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaPriere GD.LDF MQiDerridaCabaleNG.LLK DerridaAdresseDX.LDD DerridaJePrieET.LEF UThelogieNegativePriere Rang = PTheologieNegativeGenre = MR - IA |
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