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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, "Viens" | Derrida, "Viens" | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
John Caputo - "The Prayers and Tears of Jacques Derrida", Ed : Indiana University Press, 1997, p18 Jeune fille au chat (1942) - |
La profession de foi de la déconstruction, c'est qu'il faut croire en un "Viens!" |
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Ce mot "Viens!", c'est un mot de passe, un appel. Avec la déconstruction, la croyance s'ouvre à l'événement. Il faut croire dit Derrida, mais ce en quoi il faut croire n'est pas déjà construit. On ne peut pas renoncer à la foi, mais il faut une foi sans savoir ni voir, une foi omnivalente. Le rejet du transcendantal n'implique pas la mort de Dieu, mais la mort des tendances totalisantes du discours. Les fois déterminées (judaïsme, christianisme, Islam) ont montré leur dangerosité (p47). La passion de la déconstructon, c'est de proposer une foi indéterminée, infiniment exposée à la recontextualisation, la substitution, la traduction, une foi vulnérable, sans horizon ni bouclier (p48). Pour Derrida, sauver le nom de Dieu (dans Sauf le nom), c'est préserver cette croyance-là. Le nom de Dieu n'est celui de personne, c'est celui du tout autre. Sauver son indétermination en disant "Viens!", est une exigence pour la déconstruction, une nécessité. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Caputo_J DerridaViens OM.LOM UViensFoi Rang = NViensFoiGenre = MK - NA |
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