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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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CinéAnalyse : bêtise, valeur souveraine | CinéAnalyse : bêtise, valeur souveraine | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cinéloft du Quai | Le cinéloft du Quai | |||||||||||||||
Grégoire Fannis - "Garder le silence", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 7 avril 2021 - |
[(CinéAnalyse) : En érigeant la bêtise en valeur souveraine] |
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1994. - Forrest Gump (Robert Zemeckis). 1998. - L'ennui (Cédric Kahn). 2014. - P'tit Quinquin (Brunot Dumont). 2020. - Mandibules (Quentin Dupieux). C'est la généralisation de la bêtise, tellement générale qu'on ne s'en aperçoit même plus. --- La bêtise au cinéma, ça n'est pas seulement un thème ou un genre, c'est une fonction, une nécessité qui touche une grande partie du cinéma, et peut-être tout le cinéma en tant que machinerie, industrie, technique, fabrique, construction stéréotypée, etc. Un cinéma général, universel, souverain, ce serait le comble, le triomphe de la bêtise, ce à quoi, à une certaine époque, ont pu viser les westerns, par exemple, ou les James Bond, même s'il y a toujours des singularités qui réussissent à circonvenir la bêtise. Charlie Chaplin est suprêmement bête et suprêmement intelligent, il réconcilie les deux.
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-------------- Propositions -------------- |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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CineHantise CineBetise AA.BBB CineLoftHW.LKK MB_CineBetise Rang = YLGenre = - |
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