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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Le spectral de Derrida | Le spectral de Derrida | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, signifiant : signifié | Derrida, signifiant : signifié | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Schibboleth, pour Paul Celan", Ed : Galilée, 1986, p95-6 Les mots sont des spectres (Melissa Makantobina, 2010) - |
Derrida, l'origine | Les mots sont des spectres : avec eux revient l'origine, et aussi la perte inéluctable de l'origine |
Derrida, l'origine | Autres renvois : | |||||||||||||
A partir d'Henri Michaux |
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Derrida, reste, restance | Derrida, reste, restance | ||||||||||||||||
Derrida, une fois, une seule | Derrida, une fois, une seule | ||||||||||||||||
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Tout poème est daté. Sa provenance est marquée en lui. Il commémore un événement qui ne reviendra jamais [naissance], mais qui revient quand même à chaque lecture [anniversaire]. C'est une expérience de la langue dans laquelle les mots sont des spectres. Comme les spectres, ils sont familiers avec la perte. Leur origine a été oubliée. Ils sont inéluctablement morts - mais même le deuil est impossible car on ne peut pas les incorporer. Au-delà du deuil, les mots n'ont pas disparu, ils surgissent comme des revenants. Ce surgissement est une expérience de la langue qui marque la poésie, la littérature et l'art. Le spectre est double : il est originaire et oubli de l'origine. Il n'est pas vraiment présent (c'est un fantôme) et pourtant il est là. C'est un revenant. Inéluctable, ici, veut dire sans reste. S'il n'y a pas de reste, la perte est irrémédiable. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaSpectre CD.FGG DerridaSignifiantMD.LMM DerridaOrigineSP.ECT DerridaRestanceQM.LMM DerridaUneFoisDM.LDM Q.spectre Rang = FGenre = DET - DET |
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