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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'être, au - delà de l'être | Derrida, l'être, au - delà de l'être | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'indéconstructible | Derrida, l'indéconstructible | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p37 Debut d'un poeme (Paul Klee, 1938) - |
Derrida, la forme | L'être, qui se produit dans la métaphysique occidentale comme domination d'une forme linguistique (le mot), n'est pas irréductible |
Derrida, la forme | ||||||||||||||
Derrida, le langage | Derrida, le langage | ||||||||||||||||
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Qu'est-ce que l'être? La réponse heideggerienne pourrait être : c'est le mot être (comme substantif ou comme verbe). La pensée de l'être est une langue de mots, et le mot être serait un mot originaire (Urwort) Le sens de l'être n'est pas le mot "être", mais ce sens n'est rien en-dehors du langage et de l'irréductible simplicité du mot. Heidegger est enfermé dans une vieille linguistique du mot. Il écarte la linguistique moderne, qui déconstruit l'unité du mot. Même s'il ébranle par sa méditation l'onto-théologie, même s'il s'interroge sur la primauté de la troisième personne de l'indicatif (est), il reste attaché au logocentrisme. Derrida ne partage pas ce point de vue. Si l'être n'est pas un signifié premier et irréductible, on peut le déconstruire, on peut mettre en question la domination de la forme linguistique dans l'histoire de l'Occident, c'est-à-dire le mot, y compris le mot être, ce qui conduit à la notion de trace signifiante, puis de différance. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaEtre IB.IIJ DerridaIndeconstructiblePE.DES DerridaFormeFM.LFF DerridaLangageJN.KKJ T.etre Rang = IGenre = MR - IB |
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