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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le gramme | Derrida, le gramme | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'humain | Derrida, l'humain | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, pp19-20 Danse (source non connue) - |
Derrida, la lettre | Le gramme est l'élément irréductible, antérieur à tout système et à tout couple d'oppositions du type humain/anhumain |
Derrida, la lettre | ||||||||||||||
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Dans les années 1960, l'utilisation du mot "écriture" s'est élargie aux champs les plus divers. On s'en sert pour désigner l'acte matériel d'inscription (d'une lettre, un trait ou d'un signe idéographique), mais aussi pour d'autres types d'inscriptions dans l'espace : cinéma, danse, musique, sculpture. On peut parler d'écriture athlétique, militaire ou politique, ou encore de l'écriture d'un programme biologique ou cybernétique. Quel est l'élément commun à tous ces usages? Jacques Derrida propose les concepts de trace, graphème ou gramme. Ces concepts ont la particularité de ne pas être déterminés comme humains. Ce sont des éléments qui ne peuvent pas être expérimentés, qui n'ont pas de sens, qui n'entrent pas dans des systèmes d'opposition. On peut les rapprocher des écritures mathématiques, qui ne sont ni liées à une production phonétique, ni la "traduction" d'un langage ou d'un signifié quelconques. S'ils sont un élément de quelque chose, c'est de l'archi-écriture, cette écriture antérieure au langage, qui le comprend et l'excède. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaGramme CA.KKQ DerridaHumainGJ.BKK DerridaLettreBG.SKK UGrammeDef Rang = HGenre = MK - NP |
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