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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'écriture | Derrida, l'écriture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Ecrire dans la mouvance derridienne | Ecrire dans la mouvance derridienne | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p129 Nature morte au livre (Adolf Menzel) - |
Derrida, le livre | La fin de l'écriture linéaire est bien la fin du livre |
Derrida, le livre | ||||||||||||||
Du "hors livre" au "livre à venir" | Du "hors livre" au "livre à venir" | ||||||||||||||||
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On peut rapprocher le concept classique du temps conçu comme successivité linéaire de l'écriture alphabétique, qui s'appuie sur la ligne et est inséparable du phonologisme. Selon Saussure, le temps étant de nature auditive, il ne peut s'écrire que dans une seule dimension. Cette thèse est contestée par Jakobson, qui donne l'exemple de la musique, qui est pluri-dimensionnelle. Pour Derrida, le concept linéariste du temps est lié à une époque de l'histoire (l'époque de la phonè) en voie d'achèvement. Le linéarisme est une norme qui n'a jamais pu s'imposer absolument, un modèle qui a fixé des limites à l'écriture et a déterminé de l'intérieur toute l'ontologie, et aussi l'histoire de la philosophie, mais qui se défait aujourd'hui avec le retour de la pensée symbolique pluri-dimensionnelle, déjà présente dans le mythogramme. La linéarisation est associée à une hiérarchisation qui laisse place à une autre organisation de l'économie et de l'espace. Nous allons écrire autrement, et aussi lire autrement, car ce qui se donne à penser aujourd'hui ne peut s'écrire selon la ligne et le livre. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaEcriture QB.DLL DerridaIdixaLI.VRE DerridaLivreKL.DRS OrloeuvreAutreLivreDE.LEF WEcriture Rang = OGenre = MR - IB |
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