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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'écriture | Derrida, l'écriture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, une fois, une seule | Derrida, une fois, une seule | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p164 Penser l'unique (Ksa Freisteirx, 2010) - |
Derrida : une voix qui ne s'efface pas | Penser l'unique dans le système, l'y inscrire, tel est le geste de l'archi-écriture |
Derrida : une voix qui ne s'efface pas | ||||||||||||||
Derrida, le nom | Derrida, le nom | ||||||||||||||||
Derrida, singularité(s) | Derrida, singularité(s) | ||||||||||||||||
Derrida, violence, cruauté | Derrida, violence, cruauté | ||||||||||||||||
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Il y a dans le nom propre une violence : c'est que le propre, l'unique, ce qui, du fait de son unicité, est irréductible à tout système, ce propre doit s'inscrire. Telle est la violence originaire du langage, l'archi-violence. C'est ce qui explique que dans la société Nambikwara décrite par Claude Lévi-Strauss, l'usage des noms eux-mêmes est interdit et remplacé par des surnoms. Le nom est réservé à l'unique, il ne peut pas entrer sans transgression dans un système de classification. Notre usage courant des noms est plus abstrait, mais l'interdit subsiste : cet autre pur (l'autre réel auquel le nom se réfère, au-delà du langage) est perdu, interdit. A partir de là une deuxième violence réparatrice institue la morale : cacher l'écriture, l'effacer, l'oblitérer. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaEcriture BS.GAI DerridaUneFoisCG.LGC DerridaLinstantGE.LGE DerridaNomCD.LDC DerridaSingulED.LED DerridaViolenceCD.LDF UUniqueArchiE Rang = HArchiEcriUniqueGenre = DET - DET |
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