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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'écriture | Derrida, l'écriture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | CinéAnalyse : Place aux pères qui nous ont lâchés | CinéAnalyse : Place aux pères qui nous ont lâchés | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p202 J'ecris (Yuchuan Li, 2010) - |
Derrida, le logos, logocentrisme | L'inscription produit le fils; en même temps, elle constitue la structuralité du logos et l'entame |
Derrida, le logos, logocentrisme | ||||||||||||||
Derrida, père / fils | Derrida, père / fils | ||||||||||||||||
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Quand il est question de linguistique et de cosmogonie, les métaphores de Platon sont scripturales. Il n'y a pas de filiation en-dehors d'une écriture. Comme le fils, le logos et la structure sont les produits de l'inscription. L'origine du monde se définit comme trace et non pas à partir de la vérité de la parole. L'écriture, qui ouvre le jeu de la différence, est parricide. Mettant un système en circulation avec ses différences et ses relations, elle rend impossible une présence pleine et absolue de l'étant. À peine jeté dans l'être, le logos est entamé. Dans la société sage des fils reconnaissants, la décision d'écrire est une décision effroyable, une décision qui met sens dessus desssous le logos paternel, qui peut conduire à la folie. Quand le fils s'engage sur le chemin de l'étranger, il y joue sa tête. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaEcriture GE.GGE CtpPereIE.IIU DerridaLogocentrismeKF.LLK DerridaPereFilsCI.OOI T.structure Rang = NGenre = DET - DET |
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