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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'écriture | Derrida, l'écriture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p208-9 Portrait de Jacopo Strada (Titien, 1567) - |
L'humain, un être de supplément | Pour Rousseau, le signe, comme l'écriture, est un supplément, une négativité, un mal qui supplée à la nature innocente et bonne |
L'humain, un être de supplément | ||||||||||||||
Derrida, le signe | Derrida, le signe | ||||||||||||||||
Saussure et Rousseau | Saussure et Rousseau | ||||||||||||||||
Derrida, le mal | Derrida, le mal | ||||||||||||||||
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Pour Jean-Jacques Rousseau, l'écriture comme institution, convention ou artefact s'oppose à la parole vive, qui est l'expression naturelle de la pensée. L'écriture est une représentation, une technique qui fait violence à la destinée naturelle de la langue : être parlée. Il y a risque de substitution, de suppléance par un élément extérieur. Si cet élément vient combler, c'est qu'il y a un vide à combler, c'est-à-dire du mal, alors que la sollicitude maternelle de la nature devrait être sans faille, de même qu'une mère devrait toujours allaiter ses propres enfants. Pourtant le même Rousseau décrira toute l'éducation, et aussi la culture, comme un système de suppléance destiné à reconstituer l'édifice perdu de la nature. |
Ce supplément que craint Rousseau est la différance. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaEcriture WB.QPM DerridaSupplementWF.KKH ProSupplementSI.GNE DerridaSigneEM.MME VoixLinguistiqueLE.LLE DerridaMalHI.LHI T.suppléance Rang = OGenre = MR - IB |
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