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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, auto - affection | Derrida, auto - affection | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la bouche | Derrida, la bouche | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Economimesis", Ed : Aubier-Flammarion, in "Mimesis des articulations", 1975, p74-6 Bouche interieure (Nina Messham, 2010) - |
Derrida, liberté, libertés | Sevrés de toute finalité externe, nous intériorisons par la bouche notre existence libre et autonome, c'est-à-dire morale |
Derrida, liberté, libertés | ||||||||||||||
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Partant de la classification des Beaux-Arts proposée par Kant, qui place en haut de la hiérarchie les arts liés à l'expression orale (et d'abord la poésie), la bouche se situe au sommet de la hiérarchie du fonctionnement du logos. A l'origine de la loi morale [selon Kant], on ne trouve pas une intériorisation de la loi du père (comme l'affirme Freud), mais une volonté d'autonomie, un "ça veut dire que ça veut dire et que ça dit que ça veut dire que ça veut et que ça veut ce que ça veut". Il y a intériorisation d'un impératif, mais le processus n'est pas une incorporation, c'est une auto-affection, un jeu analogique, une exemploralité, une supplémentation. En parlant, je fabrique du signe et du sens, je peux me passer de toute finalité externe, je deviens autonome. Je ne cherche plus au-dehors, mais au-dedans, et là je trouve des impératifs catégoriques et des schèmes universels. L'embouchure de ce processus n'est autre que la bouche. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaAutoAffection DR.GUE DerridaBoucheTE.XPE DerridaLiberteHE.LHE T.extint Rang = KGenre = DET - DET |
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