Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Aucune couleur n'a de place                     Aucune couleur n'a de place
Sources (*) :              
Jacqueline Lichtenstein - "La couleur éloquente - Rhétorique et peinture à l'âge classique", Ed : Flammarion - Champs, 1999, p60

 

Porteuse d'eau en Egypte (1913) -

Pour définir la couleur comme mimétique, il est nécessaire d'identifier dessin et peinture

   
   
   
                 
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

 

Cette identification est faite par Platon (Cratyle). La peinture est une sorte de nomination. Elle représente les choses à l'aide de formes et de lettres. Si l'image est considérée comme un signe, c'est le modèle discursif qui prévaut. Le tableau est pensé comme image du discours. Au contraire les couleurs sont issues du mélange (comme le rouge, situé entre le noir et le blanc) (p61). Son éclat provoque une dilatation trop violente du rayon visuel. La couleur n'est qu'un effet de couleurs (p62). Elle est suspecte. Son charme lui confère le pouvoir de séduction du poikilos (bariolé), comme tous les animaux qui attirent leurs proies par des pièges, comme le sophiste, comme le rhéteur, le cosméticien ou aussi le peintre.

---

Si l'on n'identifie pas dessin et peinture, alors la couleur, lâchée par le dessin, n'est plus mimétique. Elle sort du modèle discursif et devient suspecte.

 

 

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

Lichtenstein
ProCouleur

GI.KQF

UMimetismeCouleur

Rang = RCouleurMim
Genre = MK - NA