Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Cinéma, art populaire | Cinéma, art populaire | ||||||||||||||||
Sources (*) : | A présent, tout art est photographique | A présent, tout art est photographique | |||||||||||||||
André Bazin - "Qu'est-ce que le cinéma?", Ed : Cerf-Corlet, 2002, p151-2 - |
L'image audiovisuelle au service de la voix | Photographie, cinéma et télévision sont des empreintes de l'objet, des traces qui en préservent un certain degré de présence |
L'image audiovisuelle au service de la voix | ||||||||||||||
Sur l'artPresence | Sur l'artPresence | ||||||||||||||||
André Bazin | André Bazin | ||||||||||||||||
Le cinéma, figure de l'inconscient | Le cinéma, figure de l'inconscient | ||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Pour distinguer le théatre du cinéma, certains parlent de présence de l'acteur. Certes, il est présent en chair et en os, et cela crée une certaine relation avec lui. Mais n'y a-t-il vraiment aucune présence de l'objet photographié ou visible sur l'écran? N'y a-t-il aucune situation intermédiaire entre la présence et l'absence? Déjà l'objet peint est une tentative de cet ordre. Le cinéma compense la non-présence physique de l'acteur par le grossissement du plan ou d'autres artifices. Sur l'écran, les acteurs ne sont pas perçus comme réalités objectives, mais ils sont plus facilement considérés comme des types idéaux auxquels on peut s'identifier. Le théatre se construit sur la conscience réciproque de la présence de l'acteur et du spectateur, mais aux fins d'un jeu qui repose sur certaines conventions (le décor de théatre, l'architecture de la salle), d'un échange verbal dont l'énergie peut lever la censure et induire une catharsis. Au cinéma, nous contemplons, solitaires, un spectacle qui nous ignore. Nous sommes au centre d'un univers, d'un monde qui a sa propre épaisseur, d'un espace diffus, sans géométrie et sans frontières, qui cerne l'écran. La présence des acteurs et du récit dépend de l'énergie verbale qu'est capable de nous restituer le réalisateur. |
Elizabeth Taylor dans Cléopâtre, de Joseph Mankiewicz (1963). |
|
||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Bazin ArtCinema CC.ILO ArtPhotoBL.MMO EVocalAudiovisuelDE.FFE ArtPresenceSE.LLI BazinCheminementsEE.LEE CinemaRepresentationEE.LEE T.présent Rang = NGenre = MH - NP |
|||||||||||||||