1968.

- La mariée était en noir (François Truffaut).

L'impossibilité du deuil, c'est aussi l'union ou l'alliance avec la mort.

1978.

- La chambre verte (François Truffaut).

Nier le deuil en s'appropriant les morts, c'est exercer sur eux son pouvoir.

1995.

- Sur la route de Madison (Clint Eastwood).

2010.

- Inception (Christopher Nolan).

Prendre des chemins détournés avant de se résigner à l'impossible.

2013.

 - Une belle fin (Uberto Pasolini).

Il est question de beauté, d'un acte qui récuse toute résignation.

2015.

- Vers l'autre rive (Kiyoshi Kurosawa).

Partager avec le spectre l'expérience du deuil.

2017.

- 120 battements par minute (Robin Campillo).

Porter, chez l'autre ou chez soi, le deuil de soi-même.

2019.

- Papicha (Mounia Meddour).

Préférer la mort au deuil d'une vie vivante.

2020.

- Serre-moi fort (Mathieu Amalric).

- Un Soupçon d'Amour (Paul Vecchiali).

2021.

- Vortex (Gaspar Noé).

Mourir sans laisser de trace, c'est concourir à l'impossibilité du deuil.

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Trouver, par un acte d'une gratuité absolue, les voies d'un au-delà du deuil.

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Le cinéma pose, de toutes les façons possibles, sous tous les modes qu'il a pu inventer (c'est-à-dire que les humains peuvent inventer) la question du deuil.

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Propositions

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