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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le point | Derrida, le point | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le logos, logocentrisme | Derrida, le logos, logocentrisme | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, pp207-8 Pere impossible (Estelle Davy, 2010) - |
CinéAnalyse : en dispersant l'Oedipe | Le point d'impossibilité d'une présence pleine et absolue du logos ne peut s'écrire que comme parricide |
CinéAnalyse : en dispersant l'Oedipe | ||||||||||||||
Derrida, père / fils | Derrida, père / fils | ||||||||||||||||
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Le père devrait garantir par la parole la vérité du logos. C'est ce que Platon tente avec sa dialectique. Mais son ironie, l'irruption de termes qui n'entrent pas dans des systèmes stables (pharmaka), le fait qu'il écrive ses dialogues, après la mort de Socrate, sans s'appuyer sur la parole vive du maître et en utilisant des lettres et des notions abstraites - c'est-à-dire dans l'errance - tout cela démontre un tout autre rapport au père, au-delà de la présence (epekeina te ousias). Pour Derrida, ce rapport est parricide. L'origine est absente. Socrate supplée le père, qui se retire, ouvrant une scène de famille, menaçant l'ordre du logos paternel. Cette impossibilité à laquelle Platon s'est heurté n'est pas accidentelle ou locale. Elle est prescrite par la nécessité même du logos. La dialectique ou l'ontologie logocentrique suppose une grammaire qui lui est extérieure, mais aussi intérieure, laquelle rend impossible une présence pleine de l'étant. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaPoint HP.JJI DerridaLogocentrismeKI.LLM InsuOedipeTI.JJI DerridaPereFilsFC.LLO UPereMort Rang = KGenre = DET - DET |
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