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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, texte, hors - texte | Derrida, texte, hors - texte | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cadre, convention précaire | Le cadre, convention précaire | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p220 Page de titre - |
Derrida, un titre | Rien ne saurait intituler un texte |
Derrida, un titre | ||||||||||||||
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Derrida cite Jean-Joseph Goux in Tel Quel n°36 (Numismatique II). Goux évoque "une pensée encore impensée du réseau", une "pensée du texte" - il faut qu'un réseau soit sans titre ni chapitre, sans tête ni capitale [c'est bien le cas d'Internet]. S'appuyant sur Mallarmé, il faut généraliser cela à tout texte. Un titre occupe le haut de la page. Il est comme une voix, un centre, un commencement, un chef. Il domine, il commande et assourdit le texte. Mallarmé le savait. Il conseillait de suspendre le titre, de le faire taire, de l'oublier. Il résistait lui-même à son autorité par des espacements ou des blancs dans la page, des rythmes, des brisures disséminées. --- Il faudrait ajouter "si le texte est une oeuvre" (car il y a des textes clos dont le titre n'est qu'un des éléments de la clôture). Ou bien : "s'il s'agit d'un texte du second type, le type disséminant, non logocentrique". Et pourtant Derrida (comme Mallarmé d'ailleurs) donne des titres à ses textes. Il fonctionne à double commande : à l'intérieur du logos, quite à le renverser (dans le logos renversé, il se peut que le titre subsiste) et à l'extérieur (quand le texte fusionne avec le hors-texte, il perd ses titres ou les absorbe, comme il absorbe ses préfaces). |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaTexte FH.JJI ArtCadreDT.DDF DerridaTitreJI.LJI T.titre Rang = LGenre = MR - NG |
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