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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
La performance au bord de l'art | La performance au bord de l'art | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, un titre | Derrida, un titre | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La vérité en peinture", Ed : Flammarion, 1978, p272 Une oeuvre de William Kent ridge et son titre - |
Derrida, l'art, l'oeuvre | Tout titre est pris dans la structure parergonale d'un cartouche : une "performance sans présence" qui produit l'oeuvre |
Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||
Derrida, le parergon | Derrida, le parergon | ||||||||||||||||
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Derrida commente le titre qu'il a donné à son propre texte, Cartouches, qui est un commentaire d'une oeuvre de Gérard Titus-Carmel, The Pocket-Sized Tlingit Coffin, que G. T.-C. a lui-même commentée sous forme de cartouches. Un titre est fait de noms, mots, morceaux de mots, lettres qui décrivent la forme, la nature, la structure ou la place d'un texte ou d'une oeuvre. Il s'ajoute à un objet d'un genre irréductiblement différent. Ecriture qui vient en plus, il s'auto-définit comme titre. Je suis le titre. Il se dit, se produit (auto-affection), mais en s'écartant de lui-même, en se déboîtant (allusion à l'oeuvre de G. T.-C. qui est une boîte) : Voici l'oeuvre que je montre et à laquelle j'ai trait. Il produit l'oeuvre (performance) mais n'en est pas la présence. Comme le modèle d'un dessin, il n'en est qu'un reste. Je suis moi-même cartouche. Comme signature, le titre est aussi une mise à mort de lui-même. Je me signe à mort. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida ArtPerformance MV.FFI DerridaTitreCE.LLC DerridaArtJT.JJT DerridaParergonHT.LHR UTitrePerformance Rang = OTitrePerfGenre = MK - NG |
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