Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la dissémination | Derrida, la dissémination | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'être, au - delà de l'être | Derrida, l'être, au - delà de l'être | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p426 Le seminal a mort (Stephane Eladdus, 2010) - |
Derrida, la mort | Le séminal se dissémine sans avoir jamais été lui-même, à perte et à mort; n'ayant aucun sens, il diffère de la polysémie |
Derrida, la mort | ||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
On ne peut pas se demander à propos du séminal "Qu'est-il?", car il n'a pas d'être. Dire "Ceci est cela", c'est substantialiser le texte, le projeter sur une surface quatrième où sa conscience se montre. Mais le séminal est irréductible à aucun thème. Il ne se révèle pas, il ne devient pas présent dans un horizon de sens. On ne peut pas l'annoncer par énigmes, par interprétations. Il n'est pas plurivoque car il ne réside pas dans la vox (le mot). Il ne se règle sur aucune forme, ne s'explique pas. Entre la polysémie du discours et la dissémination textuelle, il y a une différence implacable car le sémantique est conditionné par la structure, il est réappropriation de la semence dans la présence (c'est un fermoir). Le sémantique est un moment du désir, tandis que la dissémination se fraye un chemin dans le texte. Le séminal passe par cette colonne transparente qui tournoie sur elle-même pour produire de la différence. |
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaDissemination IP.JJI DerridaEtreGE.GGH DerridaMortFG.LGF T.lesens Rang = NGenre = DET - DET |
|||||||||||||||