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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
L'histoire de l'art veut faire sens | L'histoire de l'art veut faire sens | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La vérité en peinture", Ed : Flammarion, 1978, pp274-5 Fresque d'Orvieto, Paradis (Luca Signorelli, 1499-1502) - |
Derrida, le musée | Toute description d'une oeuvre d'art requiert de nouveaux suppléments descriptifs - que n'épuisent ni le discours sur l'art, ni les cartouches |
Derrida, le musée | ||||||||||||||
Orlolivre : comment ne pas se parergonaliser ? | Orlolivre : comment ne pas se parergonaliser ? | ||||||||||||||||
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Dans le discours sur l'art, la description se heurte à des obstacles empiriques, mais aussi à des difficultés de principe. Pour décrire un objet en toute certitude, il faut y inclure sa description. Par exemple un catalogue, un objet technique, un exergue et même des points de vue et associations de l'auteur font partie de l'oeuvre. Ils doivent eux-mêmes êtres décrits, etc... Il n'y a pas de limite à la description : chaque nouvel assaut descriptif est une rature. Chaque classification vous met au défi de produire un autre discours. ------- Tout le savoir de l'histoire de l'art avec ses méthodes canoniques est incapable de décrire une oeuvre d'art. L'oeuvre ou l'image inclut un non-savoir sur elle-même, un indescriptible qui nous éblouit. |
Les fresques d'Orvieto par Luca Signorelli (le Paradis) : un exemple d'oeuvre dont on n'épuisera jamais le commentaire.
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida ProHistArt DS.FFS DerridaArtGD.GGD DerridaMuseeHS.LHS ArchiOeuvreParergaGG.LAA T.delart Rang = OGenre = MR - IB |
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