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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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La peinture excède le signe | La peinture excède le signe | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Interpréter, c'est savoir | Interpréter, c'est savoir | |||||||||||||||
Hubert Damisch - "Huit thèses pour (ou contre?) une sémiologie de la peinture", Ed : ronéotypée, , Thèse 5 Piece byzantine representant Isaac et le Christ (1185-95) - |
L'oeuvre réplique | On ne peut pas réduire le système "peinture" à des unités sémiotiques, mais on peut définir un niveau de discours où l'image est lisible |
L'oeuvre réplique | ||||||||||||||
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On ne peut pas réduire une peinture à ses unités constituantes, ni à un corps de règles d'assemblage de ces unités. Ce ne sont pas des signes au sens traditionnel. Pourtant ces unités sont repérables. Elles appellent à une ou des lectures, qui sont porteuses de significations secondaires ou conventionnelles qui peuvent être éloignées de leur signification primaire. Quand Panofsky intègre la souricière fabriquée par Joseph dans l'Annonciation du retable de Mérode à un niveau supérieur de signification (le triptyque dans son ensemble), il définit un autre niveau de discours qui lui permet d'introduire des notions, relations ou propositions abstraites. De même, une sémiologie de la peinture ne peut s'inscrire que dans un moment particulier, antérieur au symbolique. |
Un personnage masculin (primaire) peut être l'image d'Isaac (secondaire) ou celle du Christ qu'il préfigure. L'iconologie associe un signifiant à un signifié, qui peut ne pas être compréhensible en-dehors de cette interprétation. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Damisch PeintureSigne ID.LLI InterSavoirLG.LLG SystemeOeuvreFD.LDD T.lecture Rang = OGenre = A - |
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