Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'à - venir | Derrida, l'à - venir | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Du "hors livre" au "livre à venir" | Du "hors livre" au "livre à venir" | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p14 Deux visages (Louis Soutter, 1930-42) - |
L'avenir ne peut s'anticiper que dans la forme du danger absolu; il ne peut s'annoncer que sous l'espèce de la monstruosité |
||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Introduisant son livre, De la grammatologie, par le constat d'une dislocation du logocentrisme, cette métaphysique privilégiée depuis les Grecs par la tradition occidentale, Jacques Derrida s'interroge sur l'avenir. Sur quoi cette méditation peut-elle déboucher? D'un côté, si l'on rompait avec toute anticipation, tout calcul fondé sur le logos, il y aurait un risque d'obscurantisme. Il ne faut pas se précipiter hâtivement dans cette direction. Mais d'un autre côté, ce qui s'annonce au-delà du logocentrisme, de la normalité constituée, ne peut pas se dire dans les vieux mots. Pour être fidèle à ce qui peut arriver de nouveau dans le monde, il faut accepter une certaine errance de la pensée. Ce qui arrive peut faire trembler toutes les valeurs, y compris les plus évidentes (la parole, le signe, l'écriture). Ce qui arrive peut sembler dangereux, menaçant - parfois à juste titre, se présenter comme monstrueux. Mais si cette époque historico-métaphysique se clôt, si elle produit elle-même sa dislocation, il est impossible d'ignorer cette annnonce. |
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaA_venir CS.LLK OrloeuvreAutreLivreLE.LLE UAnticipation Rang = NAvenirMonstreGenre = MR - IA |
|||||||||||||||