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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la vie, la survie | Derrida, la vie, la survie | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la différance | Derrida, la différance | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "L'écriture et la différence", Ed : Seuil, 1967, p302, Freud et la scène de l'écriture - |
Derrida, le rien, khôra | La différance, qui n'est rien, constitue l'essence de la vie, et la vie, pensée comme trace, avant toute présence, est la mort |
Derrida, le rien, khôra | ||||||||||||||
Derrida, la trace | Derrida, la trace | ||||||||||||||||
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Freud décrit le mouvement de la vie comme un effort pour se protéger elle-même en différant l'investissement dangereux. Devant un danger, elle cherche les détours, les frayages, une économie de la réserve, de la répétition, qui lui permettra de se reproduire, ce qui constitue déjà un principe de mort. Cet effort, Jacques Derrida le réinterprète comme production de la trace, moments de la différance. La vie ne peut contenir le danger, l'effraction qui la menace, qu'en repassant par les mêmes chemins. Ce mouvement n'est pas produit par elle, il est la vie elle-même qui se produit. Elle ne peut avoir de présence, d'existence, de substance que par ce retard, ce retardement, ce différement. Dès l'Esquisse, au tout début de son oeuvre, Freud avait introduit ce principe sur lequel il reviendra dans Au-delà du principe de plaisir. C'est le retard qui est originaire, c'est cet espacement, cette différence pure, que Freud a découvert. |
Image extraite d'un film de Marc Hurtado, Bleu.
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaVie FD.LDF DerridaDifferancePA.LLK DerridaRienFH.LLD DerridaTraceJG.LKK UDifferanceVie Rang = KVieDifferanceGenre = MH - NP |
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