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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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CinéAnalyse : puissance du nom | CinéAnalyse : puissance du nom | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cinéloft du Quai | Le cinéloft du Quai | |||||||||||||||
Pauline Nemeau - "Le silence de Pauline", Ed : Guilgal, 2022, Page créée le 7 février 2019 - |
[(CinéAnalyse) : En laissant s'exercer la puissance du nom] |
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1941. - Citizen Kane (Orson Welles). 2010. - My Joy (Sergueï Loznitsa). 2018. - Paul Sanchez est revenu! (Patricia Mazuy). --- La présence du nom peut vous affecter. Par exemple : Paul Sanchez dans Paul Sanchez est de retour (Patricia Mazuy, 2018). En lisant ce titre, on croit que la personne est de retour, mais il s'agit seulement du nom. La "personne" Paul Sanchez, s'il en est une, on ne la verra pas. Autre exemple : Rosebud dans Citizen Kane, d'Orson Welles (1941). Le nom n'est pas dans le titre, mais il est proféré dès le début, et réitéré à la fin. Ce n'est pas le nom d'une personne, c'est un nom pur, sans référent, un mystère. Mais son absence vous affecte encore plus. Exemple : My Joy (Sergueï Loznitsa, 2010) où l'exigence d'identité proférée par le pouvoir conduit à la perte du nom.
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-------------- Propositions -------------- -A la création du monde, la lettre du mot créateur est allée en haut, tandis que le son demeurait en bas (Rosebud dans "Citizen Kane", d'Orson Welles, 1941) |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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CineHantise CineNom AA.BBB CineLoftEN.LLM MN_CineNom Rang = ZCineloftNomGenre = - |
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